26 mai 2010

Story of fate.

Il se passe tellement de choses à l’intérieur que c’en est juste difficile de les faire sortir. Trouver le bon chemin le bon sens les bons mots. L’eau coule du robinet presque naturellement quand on l’ouvre boum, ça coule c’est magnifique la technologie si tout était aussi simple, ce serait génial mais ça ne l’est pas. Et pis le manque d’envie la flemme tous ça fait que, quand j’ouvre rien ne sort. C’est pas faute d’essayer sous word. Mais voilà. J’appuie sur MAJ mes doigts collés au clavier humant et fumant mes joints buvant quelques verres de mon cardhu passant les heures jusqu'à l’arrivée de la fraicheur je re appuie sur MAJ, je ferme.

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j'écoute tout les albums des Red Hot Chili Pepper.. en boucle, depuis.. 10 jours.. T'as donc le choix.

4 commentaires:

lucaerne a dit…

"Il se passe tellement de choses à l’intérieur que c’en est juste difficile de les faire sortir."
Juste...

Tiens. un petit texte que j'aime bien :
"Ceci aussi : je suis persuadé qu'il faut écrire en-dessous de sa puissance.
Ne pas chercher sa pensée en écrivant.
Penser d'abord sans doute... Écrire beaucoup plus tard ensuite.
Laisser rouler du haut de la montagne.
Et en somme, d'abord, moins encore avoir pensé qu'avoir été".
Francis Ponge, Proêmes

lucaerne a dit…

Lu ça aussi, aujourd'hui, dans un poème de Nilo sur Lu (http://liensutiles.forumactif.com/vos-recueils-de-poesie-f135/poesies-de-nilo-faire-de-l-or-avec-le-vent-t14993-390.htm#390573) :
Le poids de l'indicible
Exaspère les mots.


Comme quoi... ;-)

Underscore a dit…

non mais j'ai jamais écris pour écrire enfin généralement en 10 minutes c'est bouché juste que là, voilà, je suis obligé de me filtrer parce que j'ai pas envie de chier ici
et pis si je me lâche si je retient rien ça fera 400 pages donc bon...

lucaerne a dit…

Chouette ! J'attends les 400 pages moi, pas de problème. ;-)