Non, oui.. tu ne sais pas. Tu es l'entre deux, le mi ton le dièse le bémol le tout le rien le vide l'envie parfois, rarement.. fantasque illusion partage haine démesure, vraiment ? Pas trop. Tu es plein de choses. Le froid qui fond la chaleur le bouillonnement le ras le bol général de tout de l'injuste, du jugement des mépris. Pathétique ? ça t'arrive ouais, vicieux pervers amoureux, parfois. En colère pour résumer et, de cette colère née souvent un mal être qu’illusionne certain de tes sourires, jaune ou vert qui peut le croire peut le voir qui peut, peut . Croire, nul ne se suffit à lui même à lui seul à part la haine que t’aimes entretenir parfois, en la regardant, des fois, 3 fois rien, rien en fin de compte. La fatigue, encore et toujours, la gravité, la férocité que même un lion, ne ferait pas le poids devant toi tu t’amuserais à lui arracher les griffes juste avec ta peau flasque, et tendre il pourrait l’arracher mais l’œil, l’œil veut et fait parfois son effet.
Un brin d’air dans l’atmosphère pourrait te faire revenir à la réalité mais pourquoi faire ?
Fuck
Sais tu comment on sait quand on est heureux ?
Parfois, il suffit d’un rien, d’un presque tout.
4 commentaires:
Écrire en se frappant la tête contre un mur ?
Ton dessin est... terrifiant ! Beau. De cette beauté qui ne l'est pas. Tu sais, l'art. Je suis heureuse d'avoir eu le privilège de le voir. Merci !
non, mais pas contre oui, ça faisait boum boum mais ça, je crois que depuis un bon moment maintenant, j'ai ça tout le temps. M'enfin bref, beau j'en sais rien, je n'ai pas eu et je ne l'ai toujours pas, l'envie de le finir mais merci à toi.
Et c'est quoi la chanson ?
Dresden Dolls Half Jack
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