2 mars 2009
Tu maraudes comme un chat en chaleur, quand vient enfin le printemps tant attendu tant rêvé la chaleur, les papillons tu coures après parfois il t’arrive d’en attraper un que tu déchiquettes prestement histoire qu’il ne te passe pas sous le nez, et pis tu t’amuses à faire le beau, tu te tiens droit sur un petit mur en hauteur parce que tu aimes dominer tu aimes, regarder le monde autrement qu’a même le sol à hauteur de tes pattes, pis la femelle arrive et là, tu perds toute notion tu te jettes sur son petit cul l’attrape par le cou donnes quelques petits coups de rein histoire de sortir ta zigounette et enfin, tu délivres la bête qui est en toi qui est, resté trop longtemps en silence pis tu repars dans ton coin, faire ta longue toilette parce qu’il ne faut pas croire, mais baiser rend sale.
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7 commentaires:
"Baiser rend sale", tu trouves ?
Je t'ai déjà dit que tes dessins étaient fabuleux. Je me répète, perroquète... Celui-là encore. Peut-être un peu plus.
Baiser rend peut-être sale, encore que je ne suis pas sûre que les chats se lavent pour être propres. Ils se lavent parce qu'ils aiment ça. Si si, les deux miens, ils se léchouillent tout le temps.
Mais faire l'amour rend heureux, non ?
hahaaaaaa rire satanique en fait et d'ailleurs pour répondre, le chat n'étant pas vraiment un chat. Et la femelle n'est pas non plus, une chatte. Quand à l'acte une fois que, t'as compris que le tout était imagé, le sens tu comprendras :)
J'aime bien lire entre les lignes.
Bon, relire je m'en vais , Maître Jedi !
oui, j'avoue, la cape ma va relativement bien dans le noir MDR
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