Né sous l’empreinte d’un mal en étant ballotté par tant de désillusions, ton asile de ‘bonne fortune bon cœur’, a pourris sans heurt. De leurres en erreurs, t'acquis la conviction, qu'il faut exister de ses propres songes plutôt que d’abandons.
Parfois, tu crèves d’avoir osé respirer sans goûter au prélude qui jamais de gris est fait mais grisé de futur. D’autres, la simple pensée où se meurt chaque jour un peu plus tes idées claires comme pour s’envoler suivit du rossignol dans un ciel, où seul toi peux aller.
Tu te dis que tu devrais boire la mer plutôt que des belles paroles dont l’amère se moque bien de la grimace, qui reste indigeste, que tu consommes les quelques vents et t’empresses de délester sauvagement. Pour ainsi esquiver les maux contractés par force de trop rêver.
25 septembre 2007
Action de songes.
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