Par là : ...
Tu ne comptes pas. Tu n’as, peut être d’ailleurs, jamais compté pour lui. Comme une phase, un brin malsaine, toi qui pensais stupidement qu’il y’avait d’autres choses. T’as tilté un midi à l’hôpital, après un weekend de transfusion. Juste avant la sieste. T’as repensé aux mots de T. à sa certitude. Apres tout, t’espérais quoi ? L’amitié un amour réciproque ? Faut croire.
Retour à la case départ, rien de gagné rien de perdu mis à part la confiance. L’envie de confiance. De faire. Ouais, tout un programme. Alors voilà, ton état d’esprit. T’es dégouté. Lassé de se cacher derrière de faux problèmes, alors qu’a presque 30ans, t’es adulte, tu sais écouter, tu peux comprendre les choses mais pas le mensonge. Ni les baratins à la mords moi le nœud. Non.
En attendant, tu te branles. Tu baises aussi des fois. Ca n’réchauffe pas le cœur, clairement, mais au moins tu te vides les couilles, y’a pas de frustration quand ta bite est dans un cul, c’est concret. C’est bien loin des chimères.
On ferme.
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19 mars 2012
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4 commentaires:
Mais où ça donc, par là ???
J'avais fini par trouver, à force de réfléchitude ! (le "là-bas")
Je te parlerais bien de Sisyphe... Tu sais ? çui qu'est theureux.
Apprendre à apprécier chacun de ses pas, chacune de ses inspirations... Plus facile à dire qu'à faire, c'est clair. Pourtant, c'est là, juste là. Enfin je crois.
J'avais fini par trouver, à force de réfléchitude (et c'est plus de mon âge, il paraît).
Je te parlerais bien de Sisyphe... Tu sais ? L'autre, çui qu'était heureux.
C'est plus facile à dire qu'à faire, clairement. Mais au moins, essayer, ça occupe.
Malgré tout, je constate peu à peu qu'un homme peut aisément en remplacer un autre. Et cetera. ;)
la déception est plus finalement envers moi même. Malgré le fait que je persiste, d'avoir été pris pour un con mais bon, ce sera pas l'dernier, clairement. En cela, c’est dommage. Parce que du coup, je n'ai plus envie.
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