J’ai lu des choses, chez Tto et via unefoisparmoi. Des choses qui, ne sont motivées par aucun retour parce que l’amitié, c’est aussi simple que ça. Y’a pas de carottes au bout. Ya pas de ‘je te donne tu me donnes’ c’est naturel. Et j’avoue, que ça fait du bien. Certes, ça m’a touché mais je doute que c’était juste fait pour. Je n’ai pas envie de rentrer dans les détails, ou d’expliquer ni de faire un mot sur ça mais juste, ça fait du bien, au cœur au moral, c’est peut être con mais voilà. Ya quelques années, avec un ancien contact, j’avais échangé sur certains blogues de certaines personne leur accordant une couleur, et on s’était amusés à dire pourquoi cette couleur a cette personne. Alors, je vais recommencer, sans citer les noms des blogues ni des bloggueurs parce que voilà, juste que ya des couleurs qui marquent d’autres moins.
Gris, une couleur un peu mitigé, anthracite qui peut viré de temps en temps au bleu tout dépend de l’éclairage. C’est une couleur brute, mais douce, qui reste noble même si des fois, c’est pas très classe mais c’est jamais méchant car il en est dépourvu. Argent, couleur brillante, le blogue était divin. Orange, 3 ème dimension (x-files) . Le monde à part mais étrangement, soulageant. Lie de vin, au-delà du rose , c’est juste la barricade, parce que l’intérieur est plus doux. Moins fofolle et le soucis, c’est une fois que t’as regardais à l’intérieur, tu ne peux plus t’en défaire. Les apparences sont trompeuses. Vert, puissant. Une couleur qu’on aime aimer, d’ailleurs on l’a fout partout. Mais bleu + jaune.. c’est branlant. On aime le savoir en sécurité parce que des fois, ça peut baver et c’est ça le problème, c’est une couleur qui peut être très belle très émeraude mais aussi une couleur qui peut faire fuir. Bleu pervenche, douce amicale parfois qui force le sourire. Mais on le fait simplement sans couteau sous la gorge. Aubergine, ça c’est une couleur qui fouette qui est chaude, on a envie de se rouler dedans que ça rentre dans nos pores limite en nous faisant mal parce que c’est ce que l’on recherche, le désir de la souffrance, l’amour mais c’est une explosion. Le bonheur. Bleu céruléum, rien que le nom ça frôle le respect. Sauf quand ça vire sur le bleu ciel, c’est plus général. Carmin, c’est de suite l’élégance, la puissance des mots, et de tout ce qui est profond, c’est une grande couleur aussi. Pour le dernier, le doré, l’or parce que ça pète aux yeux tout ce brillant mais qui souvent, est mal utilisé à la fin ça fini par faire transpirer les yeux et finalement ya malaise. Ca finit en caca d’oie. Et c’est dommage. Mais l’or c’est comme le vin, faut que ça vieillisse un peu. Parce que c’est beau.
27 janvier 2011
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4 commentaires:
Ce texte est magnifique. Et comme on "part" dedans ! C'est marrant : c'est aujourd'hui que je mets un nom sur ce que j'aime dans tes mots, peut-être parce qu'il est dans l'actualité : Louis-Ferdinand Céline. Et bien sûr, aussi, mon bien-aimé Louis Calaferte.
Écris, Forrest, écris ! ;)
j'ai cherché dans google.. c'est un médecin.. bhouuuu
mais suis content que tu aimes. Et que tu te sois reconnue.
T'inquiète, c'était un drôle de médecin !
parce qu'ils ne le sont pas un peu tous?
oui.. faut voir le coté.. ;)
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