L.

Ce n’était pas prévu que t’écrives un mot mais, vu les dernières nouvelles, et que ça concerne quelqu’un que voilou forcément, ya des choses qui doivent sortir maintenant et pas dans 6mois parce que dans 6mois peut être qu’elle refera sa connerie mais peut être qu’aussi, elle en décédera parce qu’a trop tenter le diable, il arrive. Elle parle d’image ‘que penseront mes enfants quelle image ils auront ?’ si elle cède, ce sera moche si elle arrive a s’en sortir, ils seront fier. Se battre pour quelque chose c’est primordial dans n’importe quelle maladie, dans la vie en générale. C’est ce qui fait tenir, c’est l’espoir même si souvent de fois, c’est de la connerie un leurre mais c’est, bénéfique pour soi. On gravit les marches comme ça. Alors voilà, tu l’a appris ya quelques heures tu es, en colère parce que tu le savais parce qu’on a beau prendre certain médocs qui nous soulage généralement quelques jours 15 c’est la moyenne, on retombe plus bas, t’as tenté de lui en parler, simplement, avec ton ressentiment mais véridiquement, on ne peut rien dire ou faire pour apaiser l’autre et c’est d’autant plus difficile, quand on y est passé parce que ya pas de mot parce que, quand on est saoulé de tout de la maladie de subir constamment les autres leur conneries tout quoi, on ne pense plus ya juste cette envie qui devient incontrôlable qui se colle tout le temps jusqu’au moment où enfin on va se libérer et a ce moment là, on pense a rien juste a faire ça dans les règles. C’est con ouais, mais même dans le suicide ya des règles. Dans le fond tout ça c’est vital. Qu’est ce qu’on peut dire ? qu’est ce qui soulage ? le sentiment d’avoir fauté, peut être de n’avoir pas dis le bon mot au bon moment peut être que justement, pour y être passé, se taire. Et laisser la nature faire.