25 janvier 2009
Be tired.
Du coquelicot à la rose rouge sang, séché déconfite je me noie dans un vert de gris grisé de mélancolie quand je te lis aride de compréhension toi qui fut mien auparavant. Le vent qui vive le vent qui suinte le vent, libre. Vole vole petite mélancolie si le spleen n’a d’égards que la poésie grandiose avide de volupté je te regarderai marauder comme une chatte en chaleur espérant espéré d’être prise par le vice resserrant resserrer ses petits doigts à ton cou quand, la vie s’essouffle tout fout le camp mais si le vilain se moque prend garde a ton petit con, effréné et freinant je pourrais alors, parvenir à mes fins.
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2 commentaires:
Que c'est beau !
Cat Power, je les écoutais en boucle quand j'étais à l'hosto. C'était la seule musique qui m'apaisait. À l'hosto pour les fous. Quand je n'était plus sûre d'avoir envie de vivre. Je sais que c'est idiot de te dire ça. Mais tu vois, même quand on a la vie devant soi, on ne l'a pas forcément.
Ton texte est très beau !
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