T’as besoin de respirer, de t’aérer, de te sentir libre léger et là, tu te sens muré, oppressé pris dans un piège qui se ferme sur toi qui t’étouffe qui, t’asphyxie petit à petit.
Rester t’étouffe partir t’étouffe. Survivre te pèse, tout comme tout. T’es là mais, c’est comme si tu n’étais plus et cela, depuis la semaine dernière. T’es à 100000000 lieues de tout. Des gens. De leur préoccupations quotidienne. Tout ce qui se passe autour de toi t’as envie de le gerber de cracher ta haine, t’as envie de tuer des gens à petit feu de les faire souffrir. De leur sourire et leur demander comment ils vont juste avant le coup final, celui qui ôte la vie en quelques secondes.
Tu les envies, ceux qui s’en vont à l’heure où tu tapes ces quelques mots. Bref.
11 décembre 2008
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1 commentaire:
Salut Benjamin.
Je te prette l'oeil du loup traqué et fatigué, peint par Anita. Je suis sûre qu'elle ne m'en voudra pas : http://galerielilebleue.centerblog.net/6458083-L-OEIL-DU-LOUP
Avec une grosse bise. Même à 1000000... lieues.
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