25 janvier 2008

Lui aussi existe.

Il est partout, au fin fond de tes entrailles sur ta peau, prend place dans ton cœur, tu le sens il s’y installe se met au chaud, loin des regards te vide t’épuise. Il n’a pas de chair, pas d’enveloppe, pas réellement de nom. On l’appelle quand on y croit plus. On l’aperçoit quand la conséquence s’estompe, alors il apparaît plus fort, plus vivant qu’auparavant.
Il est le vide…il est l’espoir.



'La mer qu'on voit danser le long des golfes clairs a des reflets d'argent la mer, des reflets changeants...'

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