Leave a scar.

C’est souvent ceux qui demandent qui font beaucoup de bruit pour rien qui disent ‘je viendrais’ qui ne viennent jamais. C’était bien la peine de demander. A contrario, depuis le temps que tu lis certains, tu t’es enfin décider à ‘sortir’ du brouillard et de faire comme tout le monde, commenter. Exercice périlleux qu’est, de donner un avis, de mettre sa pensée noir sur blanc à la vue des autres. T’en rigole encore. Parce que ce n’est pas toi. Toi, tu lis sous reader ou autre, tu lis caché, dans la pénombre, tu n’interviens jamais ou très rarement. Genre une ou deux fois dans l’année et encore, pour certains, ça fait belle lurette que tu ne dis plus rien. Pourquoi ce changement ? en voilà une bonne question. Y’a quelques semaines, à la suite d’un twitte (twitter quoi) M. t’a demandé en contact. Ca t’a surpris car tu le lis depuis tes débuts. Finalement après quelques jours t’as osé lui dire que tu le lisais depuis x temps, et là le drame, car lui aussi te lit de temps en temps. Alors oui, sentiment de gêne d’avoir finalement attendu des années pour lui parler, alors que t’as lu sa vie intime a un moment et que bêtement, t’a jamais osé. De là est parti le déclic de commenter. Tu te demandes si ça le fait pour tout le monde… M’enfin faut pas que certains prennent de mauvaises habitudes car tu ne seras jamais comme d’autres qui commentent à chaque fois pour un oui pour un non, d’extérieur, on a l’impression qu’ils ne font que ça, commenter, qu’ils donnent leur avis sur tout et pour tout le monde. Tu ne seras jamais comme ça même si tu te rends compte, que la barrière venait de toi. Alors voilà, si t’as des ‘lecteurs’ des ‘curieux’ qui ont envie de prendre contact avec toi, qu’ils le fassent par là.
Sinon tes quelques jours à Barcelone t'ont fait du bien.Tu ne reviens pas plus détendu mais au moins, t'as les couilles vident, et ça c'est une bonne nouvelle. Photos par là aussi.
Et pis, ça te fait toujours du bien de retrouver ta J. C'est comme ta famille, tu la compte dedans, vous êtes tellement proche que tu ne restes jamais très longtemps loin d'elle. De sa douceur de son rire. Et pis t'as revu un gars, que tu revois à chaque fois, Et à chaque fois tu te dis que t'es amoureux mais tu repars a chaque fois. Bien sur que ta chimio y est pour quelque chose mais voilà. Il est 3h51.