Acide
30 avril 2009
T’as écris sur ta peau, des rimes de sang désireux de la couvrir de poèmes tu as fuit tout le long, courant traîné par sens, accentuations tréma virgules tu as tout saigné tranché dans ta chair voulant s’offrir à l’amour, le bien heureux fuyard qui, par manque d'engouement fini par te laisser des traces, sur ce corps malheureux se mêlent aux gouttes claires.
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2 commentaires:
"le bien heureux fuyard... sur ce corps malheureux..." Ce texte est beau, terriblement émouvant. Et puis ce morceau des Dresden Dolls. Toujours autant de frissons. C'est grâce à toi que je les ai découverts ! Je t'en suis redevable. Merci !!!
beau et moche oui m'enfin bref. Bein de rien pour la découverte :)
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